Tout d’abord, il n’est pas question de vous donner des conseils sur l’attitude à avoir face à la gestion de cette pandémie, juste vous éclairer le mieux possible pour que vous puissiez vous faire votre propre opinion.
Fonctionnement des « vaccins à ARN » :
Un vaccin classique fonctionne de la façon suivante :
on vous injecte tout ou partie d’un agent pathogène (bactérie ou virus) pour que votre système immunitaire réagisse à cette « agression » extérieure sans danger majeur (normalement !) et en garde la mémoire pour que, à l’occasion d’une confrontation avec le véritable agent pathogène, la réponse de votre système
immunitaire soit rapide et efficace. Pour cela on injecte l’agent pathogène tué ou affaibli (donc risque d’épidémie vaccinale) avec des excipients (aluminium notamment) qui vont activer la réaction du système immunitaire mais qui ont des effets délétères à la longue, surtout si on multiplie les doses vaccinales.
On peut aussi obtenir la partie à injecter en manipulant une levure pour qu’elle produise de façon rapide et en grande quantité cette protéine, cela s’appelle un vaccin à protéines recombinantes comme celui pour l’hépatite B qui a quand même fait couler beaucoup d’encre…
Pour la COVID, faire ce genre vaccin est très long et les premiers ne sont pas attendus avant le début 2022 (décembre 2021 peut-être !), donc les labos ont sorti une technique qu’ils développent depuis les années 2015 (c’est donc très récent et avec aucun recul car jamais encore utilisé en pratique) dites « à ARNm ».
Là ce n’est plus vraiment un vaccin de type Pasteurien car on vous injecte, dans une nanoparticule lipidique (toute petite particule) pour qu’il ne soit pas détruit par l’organisme et puisse pénétrer dans la cellule, un ARNm (= ARN messager) qui, une fois dans la cellule, va donner l’ordre à cette cellule de fabriquer une
protéine (la « fameuse » protéine Spike) qui, une fois qu’elle sera sortie de la cellule, devrait être reconnue comme étrangère par le système immunitaire qui réagira contre.
Là se pose plusieurs questions :
- comment être sûr que le l’ARNm inoculé soit effectivement reconnu comme tel par la cellule et reste dans le cytoplasme puis être détruit à plus ou moins long terme; ne risque-t’il pas, si il est pris pour un autre ARN, de rentrer dans le noyau et que, sous l’action de diverse enzymes (rétrotranscryptases et intégrases,
enzymes présentes dans notre corps soit directement soit avec des rétrovirus endogènes que l’homme a depuis des millénaires) le gène codant pour cette protéine soit intégré à notre génome ?
- notre organisme va réagir à une protéine, certes normalement étrangère mais que nos cellules ont fabriquée, or réagir contre quelque chose que nous avons fabriqué s’appelle une maladie auto-immune, comment notre système immunitaire gérer tout cela…
De plus, les labos affirment que l’ARNm restent dans le muscle où le produit a été injecté, or il a été retrouvé dans le cerveau, les reins, les gonades,… des rats qui ont subi cette injection, et on sait qu’il subsiste au moins 5 jours car le dernier rat euthanasié à 5 jours en contenait encore, après on ne sait pas car les labos
ont arrêté les euthanasies ! Si l’ARNm persiste, la production de protéine Spike continue !
Enfin, ce type de thérapie est extrêmement spécifique, il ne code que pour une et une seule protéine Spike, si elle se transforme (= les variants), la réponse est nettement moins efficace.
Utilité de la vaccination :
Tout d’abord, et on apprend cela en première année des études de médecine,
ON NE VACCINE JAMAIS EN PÉRIODE D’ÉPIDÉMIE, c’est la meilleure solution pour provoquer des mutations, et dans le cas particulier des coronavirus, des variants car c’est le champion des recombinaisons !
Donc il faudrait procéder de la façon suivante :
- isoler pendant une semaine les personnes qui souhaitent avoir cette thérapie
- leur faire un test au bout d’une semaine (et une sérologie aussi pour connaitre leur taux d’anticorps)
- leur faire l’injection
- les isoler à nouveau jusqu’à la dose suivante car leur système immunitaire est affaibli par l’injection et non capable de répondre correctement à une infestation
- leur faire la deuxième injection
- les isoler pendant encore une semaine
Et là seulement on aura une chance d’avoir une réponse immunitaire de qualité et qui ne vienne pas perturber l’évolution de la pandémie.
Enfin, comme il existe des possibilité de soigner efficacement les personnes malades (vit D, Zinc, corticoïdes, anticoagulants, ivermectine, azithromycine…) en le faisant certes de manière rapide (dès les premier symptômes), voir même avec la vit D, le Zinc et l’ivermectine, avoir une action préventive, la vaccination
n’est pas forcément la réponse la plus adaptée.
Si vous voulez d’autres réponses à vos questions, se rapprocher de COVID TRACKER : h:ps://covidtracker.fr, site plutôt « légaliste ».
Donc, nous ne sommes ni pro ni anti vaccin, mais très prudents !
Être en accord avec ce que l’on fait !
Bien se préparer à la vaccination :
Il est donc particulièrement souhaitable, que ce soit pour le syndrome post viral ou avant une vaccination, de moduler la réponse inflammatoire et de
faciliter la synthèse des anticorps.
Tout d’abord sur l’hygiène de vie :
- privilégier une alimentation riches en nutriments, vitamines, minéraux et hydratation suffisante
- légumes cuits et crus : 600g/j, saisonniers et de terroir, alimentation « vivantes »
Penser aux légumes riches en soufre : oignon, ail, brocoli, céleri
- fruits : 200 à 400 g/j, saisonniers et de terroir
- fibres, antioxydants avec polyphénols et flavonoïdes des végétaux
- protéines plutôt végétales et moins d’apport animal
- poissons gras 2 à 3 fois par semaine
- huile de noix, colza, olive, algues pour les apports en oméga 3
- Hydratation : poids corporel x 0,03 ( exemple : si 60kg -> 1,8l/j toutes boissons confondues, mais pour une tasse de café ou de thé noir, il faut rajouter 2 à 3 tasses d’eau pour compenser la perte due à ces boissons).
Sans rentrer dans des détails un peu plus compliqués, nous allons vous donner deux protocoles avec des
produits du laboratoire Herbolistique en qui nous avons toutes confiance, mais si vous trouvez le même genre de produits dans un labo que vous connaissez mieux, il n’y a aucun problème.
Premier protocole : PRÉPARATION VACCINALE
- Boostop0m ( optimisation de la réaction ) : 2 gélules matin et midi
- Phycocyanine (action immuno modulante et aussi antivirale) : 1,5 bouchon matin et soir
- Zinc ( sous forme de bisglycinate ) : 15mg matin et soir
- Vitamine D3 ( et vitamine K2 ) : en fonction d’un dosage sanguin (valeur souhaitée : entre 50 et 80 ng/ml),
sinon 75 à 80 UI/kg de poids corporel; pour la vitamine K2 : 90 μg/j. À prendre avec de l’huile, soit avec un assaisonnement soit directement dans une cuillère à soupe d’huile.
- Gemmoresist ( prévention et aide aux infections respiratoires ) : 15 gouttes matin et soir
À commencer 5 jours avant la première dose, entre la 1ère et la 2ème dose et jusqu’à 3 semaines après la 2ème dose.
Deuxième protocole : MODULER OU FREINER LES RISQUES INFECTIEUX
- Imumico ( champignons adaptogènes : renforcent l’énergie nerveuse et hormonale ) : 3 gél matin et midi
- Phycocyanine (action immuno modulante et aussi antivirale) : 1,5 bouchon matin et soir
- Zinc ( sous forme de bisglycinate ) : 15mg matin et soir
- Vitamine D3 ( et vitamine K2 ) : en fonction d’un dosage sanguin (valeur souhaitée : entre 50 et 80 ng/ml),
sinon 75 à 80 UI/kg de poids corporel; pour la vitamine K2 : 90 μg/j. À prendre avec de l’huile, soit avec un assaisonnement soit directement dans une cuillère à soupe d’huile.
- Gemmoresist ( prévention et aide aux infections respiratoires ) : 15 gouttes matin et soir
À prendre dès les premiers symptômes, même en post-vaccination en adaptant alors les protocoles.
En complément : massage des plantes des pieds le matin avec de l’huile essentielle de Laurier Noble et des surrénales (juste sous les dernières côtes le long de la colonne vertébrale) avec de l’huile essentielle de Pin Sylvestre, pendant 15 jours puis en cas de risque. Prendre aussi vitamine D et K2 ainsi que du Zinc (15mg/j).
Un autre protocole homéo que celui donner par Boiron :
- 3 jours avant et après l’injection : 1 dose de Phosphorus 15 CH
- juste après l’injection, juste avant de mettre le cataplasme d’argile : 1 dose d’Apis 15 CH si la zone est chaude ou 1 dose de Ledum Palustre 15 CH si la zone est froide
- un jour après : 1 dose de Thuya 4 CH
- deux jours après : 1 dose de Nux Vomica 9 CH
*N'étant pas médecin, je ne vous retranscris que les conseils émanant d'un collectif de médecins, médecin Helpraktiker, Physio-praticiens, médecins phytothérapeutes...
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